Suivons le chemin des droits
Chaque année, le 1er décembre, le monde entier commémore la Journée mondiale du sida. Les gens du monde entier s'unissent pour apporter leur soutien aux personnes vivant avec le VIH et affectées par le virus, et pour se souvenir de ceux qui ont perdu la vie à cause du sida.
Le monde peut mettre fin au sida si les droits de chacun sont protégés.
Avec les droits de l'homme au centre, avec les communautés en tête, le monde peut mettre fin au sida en tant que menace pour la santé publique d'ici à 2030.
Les progrès substantiels réalisés dans la lutte contre le VIH sont directement liés aux progrès réalisés dans la protection des droits de l'homme. ? leur tour, les progrès réalisés dans le cadre de la lutte contre le VIH ont galvanisé des progrès plus larges dans la réalisation du droit à la santé et le renforcement des systèmes de santé.
Mais les lacunes dans la réalisation des droits de l'homme pour tous empêchent le monde de s'engager sur la voie de l'éradication du sida et nuisent à la santé publique, et aujourd'hui une recrudescence des attaques contre les droits menace de saper les progrès accomplis.
Pour mettre fin au sida, nous devons atteindre et impliquer toutes les personnes qui vivent avec le VIH, qui sont exposées au risque d'infection ou qui sont affectées par le virus, notamment les personnes les plus exclues et marginalisées.
Le respect des droits de l'homme de chacun est un fondement essentiel d'une riposte efficace au VIH. Cette Journée mondiale du sida est un appel à l'action pour protéger la santé de chacun en protégeant les droits de chacun. Les dirigeants doivent s'engager sur la voie des droits.
et pour faire la promotion de la Journée sur les réseaux sociaux, en utilisant les hashtags #WorldAIDSDay2024 #EndAIDS.
Plus d'informations
Rapport de la Journée mondiale de lutte contre le sida (2024)
Dans son rapport intitulé , disponible à partir du 26 novembre 2024, ONUSIDA souligne la nécessité d'avoir une approche du sida fondée sur les droits de l'homme, en mettant en avant le respect des droits de chacun comme un élément fondamental pour une riposte efficace au VIH et pour la protection et l'avancement de la santé publique.